Le National Review Titre: À l’ère de la postvérité, Greenpeace ment pour recueillir des fonds

<< Dans les régions forestières, les travailleurs syndiqués et les représentants gouvernementaux se sont élevés contre Greenpeace, le Natural Resources Defense Council (NRDC) et d’autres organisations qui font des déclarations extravagantes. Depuis plusieurs années, les activistes s’attaquent avec acharnement à la société papetière Produits forestiers Résolu – et ses clients – prétendant qu’elle détruit les forêts. Ceux qu’affectent directement ces fausses accusations se font entendre massivement.

« Nous ne resterons pas les bras croisés pendant que des groupes de pression poussés par leurs propres intérêts essaient de dénigrer le travail minutieux et rigoureux que nos membres font pour gagner leur vie », ont récemment déclaré des dirigeants syndicaux au NRDC.

Roger Sigouin, maire de la ville de Hearst, en Ontario, a dit à Greenpeace que la réussite de sa campagne de désinformation entraînerait l’anéantissement de collectivités entières, ce qui était à son sens irresponsable, et qu’il n’accepterait jamais cela.  

Voilà qui est rafraîchissant, n’est-ce pas? Il ne s’agit pas que d’un combat entre une société et des environnementalistes. Les travailleurs syndiqués, la société qui les emploie et les administrations locales sont tous du même côté.

Saviez-vous que le gouvernement canadien refuse de reconnaître Greenpeace en tant qu’organisme de bienfaisance exonéré d’impôt, car il est d’avis que ses activités ne sont pas dédiées au bien public? C’est un peu dire. Greenpeace cause plutôt du tort. Cette organisation et les autres comme elle devraient être tenues responsables des mensonges qu’elles racontent à leurs sympathisants et du mal qu’elles causent aux collectivités. >>

Amy Payne, National Review (24 janvier 2017)

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